Petite revue de presse sur la soirée cabaret Les Piétons de la Nuit avec les articles parus dans les éditions du 10 et 14 mars de Var-matin.
Actualités
Les Piétons de la Nuits
Artscénicum Théâtre présente sa soirée de printemps
le 12 mars 2016, 20 h 45 – Salle des Fêtes, Grand Rue 83570 Montfort-sur-Argens
Faisant suite aux années précédentes où la soirée de printemps a rencontré un vif succès et dans le cadre du festival Les Nuits en Balade, nous vous proposons cette année une nouvelle soirée où vous aurez le loisir d’explorer l’univers du cabaret avec Les Piétons de la Nuit.
Avec Les Piétons de la Nuit, l’Atelier du Possible revisite le Paris des années 50, à Saint-Germain-des-Prés, sur cette rive gauche qui fut un « formidable creuset de la chanson française ».
Du jazz, des chansons et des poèmes, portés par un trio intense qui fera revivre les belles heures du « Tabou », de « l’Ecluse » et de la « Rose rouge », leur créativité et leur fantaisie débridée. Une ambiance de cabaret intime et festif, mais aussi un regard aigu sur les racines de la chanson française. Un concert-bonheur comme nous aimons les faire et les composer.
Les Piétons de la Nuit est un cabaret théâtral pour trois interprètes virtuoses, un metteur en scène de théâtre fou de chanson, et deux arrangeurs talentueux, complémentaires et… qui osent tout !
Un spectacle à entrées multiples
- Il raconte Saint-Germain, phénomène sociétal et musical :
Comment en quelques années 200 cabarets se sont créés, comment ils ont presque tous disparus dans le courant des années soixante, et comment entre 10 et 20 000 artistes y ont joué, chanté, posé les bases de la chanson des cinquante années à venir.
- Il conte le Saint-Germain intime :
« C’est Léo Ferré au piano du restaurant Les Assassins, se demandant si la recette va lui payer le repas, Barbara faisant la plonge à la Fontaine des quatre saisons, et Brel dormant sur le billard de la Boule d’or »
Ce sont ces artistes qui faisaient jusqu’à six ou sept cabarets par soir, se croisaient dans les rues de Paris… et Ferrat, répétant chaque soir à chacun « Demain j’arrête ».
- Il évoque dans un « hommage iconoclaste » quelques uns des grands « auteurscompositeurs-interprètes » (terme né avec Saint-Germain). Par exemple :
– Brassens, très très jazz, sur un de ses premiers titres, les plus provocateurs, Hécatombe, ou Le Gorille.
– Barbara, sur grand écran, merveilleuse interprète, et nos voix superposées à la sienne, ou encore dans une version très rock de « J’ai troqué », provocation anti-bourgeoise.
- Il redécouvre la forêt des artistes derrière les grands arbres de la chanson :
Christine Sèvres, Raymond Lévesque, qui a révélé « Quand les hommes vivront d’amour » à Saint-Germain en 1955, Marc et André, Francesca Solleville, Anne Sylvestre…
- Il dit le théâtre et la poésie qui ont aussi fait la Rive gauche :
Prévert, le Vian de « Je voudrais pas crever », Yves Robert, Francis Blanche, seront au rendez-vous.
Extraits de Le Cabaret Rive gauche Gilles Schlesser
Informations
Date : 12 mars 2016
Lieu : Salle des Fêtes, Grand Rue 83570 Montfort-sur-Argens
Horaire : 20 h 45
Tarif plein : 12 €
Tarif réduit : 8 € (étudiants, sans-emplois)
Réservation au 06 03 82 45 27
spectacle à partir de 12 ans
Invité de l’émission Mesclun sur la radio RCF, Philippe Chuyen nous raconte Les Pieds Tanqués.
L’auteur, metteur en scène et comédien Philippe Chuyen nous livre un peu de la genèse de Les Pieds Tanqués dans l’émission Mesclun sur la radio RCF.
Bonne écoute. 😉
En route pour 2016 !
Toute l’équipe d’Arstcénicum Théâtre vous souhaite une belle et bonne année 2016.
Conscient que l’art et la culture n’ont jamais changé le monde, qu’ils n’ont été des remparts ni à la morosité ni à la débandade, mais les signes d’une société qui par ses représentations montre qu’elle est encore capable de se mettre ou se remettre en question, aujourd’hui plus que jamais, par notre modeste contribution, nous allons poursuivre !
Bien à vous, bonne année à tous.
Les Pieds Tanqués, en représentation devant le Mucem
Petite rétrospective photographique de la représentation du 1er août 2015 sur la place d’Armes du fort Saint-Jean à Marseille.